Ici, intrinsèquement, un Margaux n’a rien à voir avec un Pauillac (ni même avec un autre Margaux, tant les sols sont différents dans l’appellation), un Saint-Julien doit refléter l’élégance quand c’est la structure qui signe un Saint-Estèphe...
Les terroirs signent les vins : graves garonnaises à Saint-Julien, quartz et cailloux roulés à Saint-Estèphe, croupes de graves maigres à Pauillac, graviers et cailloux à Margaux, formation caillouteuse mêlée de sable et d’argile en Médoc...
Pourtant, il est parfois bien difficile aujourd’hui de retrouver cela, tant certains crus sont “lissés” par des vinifications sophistiquées, de vraies “bêtes à concours”.
Il y a de nombreux vins bien trop chers, qui s'accrochent encore à un "classement de 1855" désuet, obsolète, quand d'autres crus élevés par des propriétaires passionnés sont -eux- garants d'un formidable rapport qualité-prix-régularité !
Ceux qui élèvent les véritables grands vins médocains, ceux qui ont une “âme”, dont le millésime 2019 ne ressemble pas au 2009, ou le 2012 au 2011... les voici.
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